Chers collègues, le plafonnement de la capacité nucléaire à 63,2 gigawatts revient à geler le parc nucléaire, en actant qu’un seul acteur historique, EDF, le gérera. En d’autres termes, si demain une entreprise privée voulait ouvrir une centrale en France, elle devrait demander aimablement à son concurrent monopolistique qu’il en ferme une. C’est une adaptation gouvernementale du fameux slogan publicitaire d’une eau minérale bien connue : « Une centrale s’éteint, une autre s’éveille. »