J’ai quelque difficulté à entrer dans votre raisonnement, qui est à l’opposé du mien. En effet, j’ai fait le choix, dans lequel beaucoup de parlementaires se sont retrouvés, quelle que soit leur sensibilité politique, de ne pas opposer les énergies les unes aux autres. Je pense que c’est ainsi que l’on travaille intelligemment et de façon structurante, afin de préparer au mieux le pays pour l’avenir.
Par ailleurs, ce choix est aussi un choix d’équilibre. Ce n’est ni le tout nucléaire, ni le zéro nucléaire auquel étaient favorables certains parlementaires qui ont fait du chemin pour trouver des convergences et faire en sorte que les forces vives de notre pays, au premier rang desquelles les entreprises, puissent se retrouver et voir avec clarté les perspectives que la nation va leur donner, pour pouvoir sécuriser leurs investissements et monter en puissance sur les énergies renouvelables, sur l’efficacité énergétique, notamment celle des bâtiments, et sur le maintien du socle nucléaire.