Monsieur le ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt, je vous ai interrogé, il y a presque trois ans, sur la tempête qui frappait l’aviculture bretonne, et en particulier le groupe Doux, premier groupe volailler européen, ainsi que l’entreprise Tilly-Sabco que défend mon collègue Gwenegan Bui.
L’arrêt, en 2012, d’une partie de l’activité déficitaire a conduit au licenciement de 1 000 salariés pour la reconversion et la formation desquels l’État et le conseil régional se sont mobilisés.
Aujourd’hui, trois ans après, le groupe Doux a renoué avec la rentabilité et avec la création d’emplois, puisque 3 000 emplois ont pu être sauvés, et plus de 200 contrats à durée indéterminée signés, malgré l’arrêt des aides européennes, annoncé depuis 2005 mais naguère mal anticipé.
L’investisseur D