Il va falloir m’expliquer : vous réunissez le Parlement pendant de longues semaines pour débattre d’une trajectoire permettant de faire passer la part du nucléaire dans l’électricité de 75 à 50 % ; mais, dans un deuxième temps, vous indiquez que dans les hypothèses qui sont aujourd’hui étudiées par les services de l’État, autrement dit l’ADEME, il y en a une à 0 %.