Il s’agit encore du même débat : l’octroi de conditions de circulation et de stationnement privilégiées aux véhicules propres en circulation est certes un moyen de favoriser leur développement, donc celui d’une mobilité plus durable, mais encore faut-il que ces avantages n’aient pas d’effets indésirables qui aboutiraient au résultat opposé. L’objet de cet amendement est donc de laisser l’exclusivité de l’usage des voies réservées aux transports en commun, aux taxis et aux véhicules de secours.