Votre rapport souligne la situation particulièrement inquiétante des femmes dans les zones urbaines sensibles, où elles subissent davantage encore les discriminations que les hommes, du fait de la persistance des stéréotypes à leur encontre. La moitié des femmes qui habitent dans ces zones est en effet sans emploi, soit 20 % de plus que les hommes et quand elles exercent un emploi, celui-ci est souvent précaire, avec des niveaux moindres de responsabilité. 21 % de ces femmes ont par ailleurs la charge de familles monoparentales et sont en retrait du marché du travail. Dans le cadre de la concertation en cours, quelles recommandations concrètes pouvez-vous préconiser afin d'améliorer cette situation préoccupante ?