Comment expliquer qu’une ligne telle que Paris-Briançon fonctionne avec des michelines diesel sur voie unique, avec des incidents permanents, alors que c’est une desserte vitale pour l’économie d’une région enclavée ? Comment justifier que les trains reliant Nantes à Bordeaux mettent aujourd’hui quatre heures quinze, en dépit de la nombreuse clientèle possible, alors que le même trajet est accompli en trois heures vingt-cinq en voiture ?