Si l’on part du principe que c’est comme les jeux du cirque, c’est-à-dire qu’il appartient au Président de la République, au Premier ministre, à un ministre de baisser le pouce pour mettre fin au destin d’une personne sans faire une enquête, sans établir les faits, sans lui permettre de se défendre, il ne s’agit pas de démocratie.