Monsieur le président, mes chers collègues, le sang des victimes n’a pas encore séché que de nouvelles se préparent ! Les combattants du huitième califat, impies qui combattent au nom d’une foi dévoyée, continuent leurs massacres sur les décombres de ce qui fut l’Irak et la Syrie ! Monsieur le ministre des affaires étrangères, vous prophétisiez dans ce même hémicycle au mois de juillet dernier la mort d’Assad. Mais si le régime d’Assad tombe, ce sont les chrétiens d’Orient, inestimable passerelle entre l’Occident et l’Islam, qui seront égorgés !