Nous avons en effet déjà eu un échange au sujet de ce seuil, madame Fraysse. J’ajouterai seulement que les 30 % ne se déclinent pas de la même de la même manière selon que l’on travaille à temps plein ou à temps partiel. Pour une quotité de 100 % de temps de travail, ils correspondront effectivement à 30 %, mais à seulement 15 % pour une quotité de 50 %. Dans ce deuxième cas, le salarié à temps partiel bénéficiera d’une revalorisation salariale à partir de 15 % de décharge, contre 30 % si l’on adoptait votre amendement. Je crois que nous devons être vigilants, c’est pourquoi j’émets un avis défavorable.