J’avoue que, nous aussi, nous sommes assez perplexes.
Je tiens néanmoins à saluer l’imagination de notre collègue la présidente Mazetier car si l’on connaissait le travail forcé, elle nous propose maintenant l’embauche forcée puisqu’un salarié à temps partiel serait presque obligatoirement embauché à temps plein par son entreprise.
Comme l’un de mes collègues l’a fait remarquer, je me demande si tout cela ne s’achève pas en travail fictif. Or, une embauche forcée débouchant sur un travail fictif, voilà qui mérite une réflexion au long cours !