Intervention de Claude Bartolone

Réunion du 22 mai 2015 à 9h00
Groupe de travail sur l'avenir des institutions

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaClaude Bartolone, président :

Dans le cas, récent, de la Syrie, le gouvernement britannique a simplement dû renoncer à présenter son texte, car il savait ne pas pouvoir trouver de majorité pour le voter.

Merci, madame, pour votre intervention. Vos propositions, issues du droit comparé, sont très cohérentes : c'est leur force mais aussi, j'en ai peur, leur limite. Sur certains points, vous avez entièrement raison. J'ai ainsi moi-même ressenti très fortement le blocage que vous évoquez lorsque j'ai voulu, au début de cette législature, créer une vraie commission des affaires européennes ; en proposant de regrouper la commission de la défense et celle des affaires étrangères, j'ai compris à quel point certains caractères pouvaient être puissants… On voit à quel point l'adaptation serait nécessaire. Sur d'autres points, notamment en termes d'organisation du travail parlementaire, je suis plus réticent ; il faut mesurer les conséquences des mesures que nous pourrions prendre. En tout cas, votre réflexion nous aura beaucoup apporté.

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