Étant l'auteur de cet amendement, j'appelle à la prudence : une fois que nous aurons pris notre décision, il sera très difficile de faire évoluer les choses. Si des associations se créent sur la base de la représentation d'une ou deux armées – par exemple si l'air et la mer d'un côté, la terre et la gendarmerie qui se regrouperaient pour des raisons tactiques de l'autre –, on ne pourra plus les obliger à se regrouper par la suite.
Le ministre a fait remarquer qu'on ne sait pas s'il y aura des associations, mais l'élection créera mécaniquement un appel d'air.
D'autre part, si l'on craint que la gendarmerie ne soit mise à part, peut-être faut-il la mentionner explicitement.