Il s'agit, en substitution du dispositif initial de l'article 3 un peu compliqué, de conserver l'applicabilité de la mise en demeure lorsque, dans les sept jours suivant la notification aux occupants, la résidence mobile se retrouve en situation de stationnement illicite sur le même territoire que visé par l'arrêté d'interdiction de stationnement des caravanes.