Certaines opérations extérieures se traînent depuis quarante ou cinquante ans, au Sahara occidental avec la MINURSO, au Congo… Cela représente un nombre d'hommes relativement réduit, mais je suis frappé qu'aucune démarche n'est jamais conduite auprès des Nations unies pour mettre un terme aux opérations engagées. J'ai déjà interrogé vos prédécesseurs à ce sujet.
Vous avez annoncé un recours accru aux réserves, avançant le chiffre de 40 000 réservistes. Or les précédentes LPM fixaient déjà ce même objectif de 40 000. Si le budget augmente de 75 millions d'euros, je pense que nous restons sur les mêmes bases que précédemment.