La question posée aujourd'hui est simple : les cinq États partenaires nous aideront-ils à couvrir les dépenses induites par l'attaque du 8 avril ? Quelles seront les conséquences si ce n'est pas le cas ? Nous travaillons actuellement au chiffrage des besoins et nous présenterons aux cinq tutelles les conséquences opérationnelles et sociales d'un éventuel défaut de financement.
Jusqu'au 8 avril, tout allait bien…