À vous entendre, on aurait presque le sentiment que les exportations de Rafale seraient un problème pour la France. J'ai bien compris que l'armée de l'air ne pouvait plus servir de variable d'ajustement, mais, dans la mesure où notre industrie, notre ministre et nous tous autour de la table aspirons à vendre plus de Rafale, si l'on y parvient, comment fait-on ? Vous avez certainement des discussions avec Dassault à ce sujet. Comment les capacités françaises pourraient-elles ne pas être amoindries par de nouvelles exportations ?