et qu’il a demandé sa régularisation en France, sans doute pour y percevoir quelques allocations supplémentaires… (Murmures sur quelques bancs du groupe socialiste, républicain et citoyen), certainement pour y poursuivre ses procédures contre la police nationale. Un refus lui a été signifié, assorti d’une obligation de quitter le territoire. Bien évidemment, il se maintient en France.
C’est une nouvelle insulte jetée à la face des familles. Elle ravive le souvenir de leur drame, comme vient de le déclarer la mère d’Imad Ibn Ziaten, l’un des militaires assassinés. Première question : quand comptez-vous procéder à l’expulsion de cet individu vers son pays d’origine, l’Algérie ? Deuxième question : qu’a fait notre pays, la France, pour subir et accepter de telles humiliations et affronts de la part des familles des assassins ? Ce n’est pas ma République, ce n’est plus la France !