Ensuite, pour suivre la qualité du dispositif et porter des jugements, un comité scientifique déterminera de façon la plus fine possible qui sont les jeunes décrocheurs concernés par le dispositif et quelle est la meilleure manière de les accompagner. Ce que j’ai vu m’a semblé satisfaisant au regard de l’évolution de ces jeunes. C’est essentiel car pour agir véritablement sur les parcours, il faut comprendre précisément quels sont les besoins.
Enfin, la délégation générale à l’emploi et à la formation, DGEFP, et le secrétariat général pour la modernisation de l’action publique, SGMAP, ont mis en place un suivi très précis des conditions de mise en oeuvre de la « garantie jeunes ». Ils en analyseront les conditions de mise en oeuvre, proposeront des outils de simplification pour les missions locales, c’est très important. Typiquement, cela pourra porter sur les modalités de gestion liées à la procédure du Fonds social européen, le FSE. Très concrètement, cela permettra de les améliorer.