Je souhaite moi aussi que l’on passe au débat sur le texte lui-même. Il est dommage que le fin connaisseur de l’armée française que vous êtes, monsieur Fromion, se soit laissé aller, dans sa critique, à des excès de langage que l’on trouverait plus facilement dans la bouche de certains de ses collègues – M. Meunier ou M. Dhuicq, par exemple.