J’ai en ce moment une pensée pour les 102 de nos soldats qui, depuis 2003, sont tombés sur les théâtres de crise en Afghanistan, au Mali, en RCA pour défendre nos libertés et notre drapeau ; une pensée aussi pour nos plus de 700 blessés, parfois lourdement handicapés pour le restant de leur vie et que nous nous devons d’accompagner vers une reconversion et une réinsertion ô combien douloureuse et difficile.
À ceux qui sont morts, à ceux qui ont souffert d’horribles blessures, comme à leurs camarades aujourd’hui au combat, mais aussi à chacun de nos compatriotes, nous devons des choix avisés et courageux et un engagement volontariste quant aux moyens budgétaires que nous devons y consacrer.
Face à un ennemi qui n’a comme objectif que l’éradication totale de notre civilisation, nous ne devons lésiner sur rien. Il en va de la survie de la patrie !
Ce texte, même si nous lui reconnaissons quelques utiles avancées…