Là encore, une réflexion et une remise à plat sont indispensables. Nous avons demandé l’organisation d’un débat à l’Assemblée nationale.
Dans ces conditions, monsieur le ministre, vous comprendrez qu’au-delà de l’estime que nous vous portons tous, et qui n’est pas en cause – pas plus qu’il n’est question de polémiques politiciennes – , nous ne pouvons pas – au nom de l’intérêt national – signer le chèque en blanc que vous nous demandez et participer à ces « bidouillages » budgétaires permanents qui caractérisent la gestion du ministère de la défense sous le règne de François Hollande.