S’agissant des crises dont nous parlons – Ukraine, Russie, drames au Proche-Orient et au Moyen-Orient et chaos libyen –, je pense qu’il faut faire preuve d’une certaine modération : il n’y a pas de raison de soutenir de manière irrationnelle la position russe ou ukrainienne. Concernant l’affaire libyenne, qui a été évoquée par M. Candelier, on voit bien que ce que l’on pouvait penser à une époque ne s’est pas réalisé et que la situation actuelle est à l’opposé de celle que certains imaginaient.