C’est pourquoi, monsieur le ministre, j’attendrai d’avoir les réponses à ces questions, parce que je pense qu’il y a un décalage entre les citoyens de notre pays, qui ne tolèrent plus les faux-semblants, et la politique que vous menez, qui ne tiendra pas longtemps face à l’opinion publique.
La parole est à M. Jacques Myard.