Nous pensons qu’il est plus raisonnable d’envisager des coopérations entre États et entre nations que d’envisager une structure qui ne fonctionnera pas, parce que les nations et les États n’ont pas forcément les mêmes intérêts. Nous venons d’évoquer la Libye ; je ne pense pas que l’Italie avec ENI défende les mêmes intérêts que la France avec Total. Il s’agit simplement du principe de réalité.