Défavorable, même si ce n’est peut-être pas sur l’objectif à atteindre.
Personnellement, je ne pourrais être que favorable à ce que peut-être un jour, que je ne connais pas encore, les CFM soient représentés par des élus, qui aient la légitimité de l’élection, mais les esprits dans nos armées n’y sont pas du tout prêts et il faut donc laisser un peu de temps au temps, comme le disait, je crois, François Mitterrand.
Ne hâtons pas les choses, laissons le CSFM se mettre en place avec la nouvelle organisation que nous examinons. Les CFM, j’imagine, feront ensuite l’objet de débats dans cet hémicycle et au sein de notre commission dans les années qui viennent.