Je n'en disconviens pas, mais je rappelle que si le Président Chirac et son Premier ministre de l'époque, M. Jospin, ont décidé qu'il fallait passer à une armée professionnelle, c'est que si la première intervention en Irak avait duré, nous n'aurions pas eu la relève nécessaire. C'est dire que nous avons besoin d'effectifs suffisants.