Monsieur Trappier, vous avez partiellement répondu à Alain Moyne-Bressand. Je vous ai trouvé très modeste : on a l'impression que tout se passe naturellement et que les commandes importantes qui vous ont été passées ne vous posent pas trop de problèmes pour l'instant. J'ai tout de même le sentiment que, comme le succès engendre le succès, vous devez vous préparer un peu à l'avenir. Vous avez une politique de formation, de recrutement ; disposez-vous de suffisamment d'ingénieurs, de techniciens ? En outre, êtes-vous satisfait de vos relations avec les régions en matière d'aides à la formation ?
Par ailleurs, êtes-vous sollicités pour l'installation d'unités de fabrication dans les pays où vous vendez vos avions ?
Enfin, comment la maintenance va-t-elle être assurée ?