Oui, bien sûr. Ils ne le signaleront pas : ils le signalent déjà, puisque les éducateurs de la PJJ sont des agents du ministère de la justice. C'est d'ailleurs pourquoi, je vous l'ai dit, nous travaillons avec les services de l'État concernés à une circulaire conjointe tendant à rappeler le circuit de signalement de l'enfant en danger. Et les signaux faibles, ce sont souvent les signes qu'un enfant est en danger.