Je vais préciser ma question. Au début des années 2000, un rapport de l'inspection générale de l'Éducation nationale signale la teneur délictueuse de certains propos tenus dans des établissements scolaires. Pourquoi de tels faits n'ont-ils pas été signalés à la justice, alors qu'il s'agit de délits caractérisés, permanents, et si nombreux que les enseignants, était-il écrit dans le rapport, hésitaient à aborder des sujets qui pouvaient entraîner des manifestations violentes à leur égard ?