Si un majeur n'a rien fait de pénalement répréhensible, cela n'est pas possible. On ne peut pousser la prévention trop loin, sauf si l'on dispose de moyens d'évaluation fiables de la dangerosité, ce qui n'est pas le cas. Nul n'est formé pour cela. Aussi, plutôt que de se demander que faire des gens déjà radicalisés, il faut éviter la radicalisation. Il y a bien sûr trop de gens radicalisés, mais la frange qui passera à l'acte reste vraiment très minoritaire. D'autre part, que devraient faire les militaires – intervenir en Irak ?