Les gens s'engagent dans le djihad pour des motifs qui ne sont pas toujours religieux. Les filles, qui, parmi les mineurs, sont plus nombreuses que les garçons à vouloir partir en Syrie, seraient attirées par le romantisme du prince charmant combattant, et de nombreux jeunes souhaitent participer à la fondation d'une nouvelle société et d'un État. Peut-on évaluer l'influence du religieux et celle du politique dans leur démarche ?