Nous ne sommes pas pleinement en accord sur ce point. L'état-major de sécurité disparaît. Les bureaux qui en dépendaient ne sont pas supprimés mais redéployés. Nous avons fait valoir à la directrice de l'administration pénitentiaire que la synergie créée entre les trois bureaux de l'état-major risque d'être remise en cause.
Autre sujet d'inquiétude pour les directeurs d'établissements pénitentiaires, qui répondra en cas de problème ? Qui sera le « monsieur sécurité » en cas de crise ? Nous n'avons pas la réponse à l'heure actuelle.
Nous tenons à votre disposition les notes que nous avons publiées suite à nos rencontres avec la directrice de l'administration pénitentiaire.