Vous avez, monsieur le ministre, été au centre du dispositif qui, du 7 au 9 janvier, a permis de mettre les criminels hors d'état de nuire tout en protégeant le maximum d'otages. Ma question porte sur le volet opérationnel : au moment où il a fallu faire cesser les crimes en train d'être commis, avez-vous discerné des difficultés de coordination, des retards dus à la loi ou à la réglementation ?