Alors, oui, ce qui est essentiel pour le pays, c’est la lutte contre les inégalités, c’est la réussite de tous…
Le 19/06/2015 à 10:06, laïc a dit :
"il faudrait faire noter les copies plusieurs fois par des professeurs différents."
Ou, beaucoup plus simple, pratique et efficace, il faut cacher les noms des élèves qui sont écrits en haut à gauche des copies. Le professeur, ne sachant à qui il a affaire, sera obligé d'opter pour une notation juste et équilibrée, qui mettra à néant la "constante macabre".
Le 12/06/2015 à 10:05, laïc a dit :
Mme n'a pas lu M. André Antibi, et sa constante macabre : "« Par “Constante macabre”, j'entends qu'inconsciemment les enseignants s'arrangent toujours, sous la pression de la société, pour mettre un certain pourcentage de mauvaises notes. Ce pourcentage est la constante macabre. »
« Soit un collège de 6 classes de 6e dans lesquelles on trouve en fin d'années toutes sortes de résultats, avec des élèves allant de 4 à 19 de moyenne dans une matière. Vous regroupez en 5e les 25 meilleurs élèves toutes classes confondues ... et vous observez les résultats un an plus tard. Les résultats auront baissé de façon très significative pour environ un tiers des élèves de cette classe d'élite, pourtant tout aussi bons qu'un an avant. Vous reprenez les deux tiers restants pour en faire une super classe de 4e, et à la fin de la 4e, un tiers encore de ce total aura vu ses résultats baisser. »
La constante macabre mettrait donc en échec des élèves de façon artificielle, et aurait potentiellement pour résultat un désengagement scolaire des élèves en situation d'échec par un mécanisme proche de l'impuissance apprise."
Donc, la réussite de tous, dans cette optique que les professeurs qui notent ne sont pas , inconsciemment et sur ordre social, honnêtes, est vouée à l'échec. Si on veut des évaluations justes, gage d'encouragement scolaire, il faudrait faire noter les copies plusieurs fois par des professeurs différents.
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