Effectivement. Nous proposons donc des dispositions procurant un cadre juridique sûr, tout en permettant d'éviter les comportements d'optimisation que peuvent adopter les meilleurs éléments, qui font parfois renoncer les chefs d'entreprise à négocier des accords de maintien dans l'emploi. Notre objectif est, à la lumière de l'évaluation qui a été effectuée, de rendre ces accords plus opérants, sans toutefois modifier les grands équilibres de la négociation qui avait conduit à l'ANI du 11 janvier 2013.