Vous regrettez le cloisonnement entre la sphère universitaire et la sphère publique. Vous indiquez que le modus operandi de la troisième génération de djihadistes était connu depuis 2008. Dans le mouvement de recomposition du paysage terroriste qui est à l'oeuvre, avez-vous déjà décelé une quatrième génération naissante ?