L'EPR finlandais a sept ans de retard et fait l'objet de pénalités non plafonnées ; celui de Flamanville présente une « anomalie sérieuse », selon l'ASN. Or EDF, qui investit déjà dans deux autres EPR au Royaume-Uni et dans le grand carénage en France, refuse d'assumer les risques pour les deux EPR en construction. Comment, dès lors, partager ces risques et les coûts ?
Enfin, dans le secteur du démantèlement, des inquiétudes plus vives encore se sont exprimées sur les sites du Tricastin et de Marcoule.