Les salariés craignent que le groupe, hors activité réacteurs, ne soit vendu à la découpe. De 3 000 à 4 000 emplois sont apparemment menacés en France ; le coordinateur de la CGT au sein d'Areva, Pascal Evariste, évoque un partage entre les Chinois, les Qatariens et Engie, avec, in fine, la perspective d'un nucléaire low cost. Pourriez-vous nous éclairer sur l'avenir des sites concernés par l'activité réacteurs et sur votre politique de ressources humaines ?