… en face de salariés modestes ou de petits retraités qui, eux, s’acquittent chaque mois d’une mutuelle.
On ne peut plus tolérer non plus la dérive infernale des dépenses de l’aide médicale d’État qui vont atteindre 900 millions. Qui peut encore accepter qu’un clandestin bénéficie de soins illimités gratuits sans rien payer ?