Cette politique globale qui privilégie l’assistanat sur la solidarité nationale est d’autant plus exaspérante que vous venez de rompre avec un pilier de notre politique familiale : l’universalité des allocations familiales.
Ce qui nous différencie profondément, c’est que nous pensons qu’il n’y a pas d’un côté des enfants de riches et, de l’autre, des enfants de pauvres ! Il n’y a que des enfants de France, des enfants qui ont tous droit à la solidarité nationale quelle que soit la situation de leurs parents.