Monsieur le président, monsieur le Premier ministre, mes chers collègues, l’Assemblée nationale connaît aujourd’hui une situation tristement inédite, en devenant une la vitrine des divisions du parti socialiste – qui, elles, n’ont rien d’inédit –, alors que nous devrions tous, en ce 18 juin, célébrer le refus de la résignation.