Monsieur le Premier ministre, alors que l’exercice des responsabilités vous impose désormais d’agir pour sortir de la crise, vous êtes malheureusement prisonnier de ces mensonges. Vous êtes dans l’impossibilité de vous délier d’un contrat de majorité qui va à l’encontre des intérêts de la France – et vous le savez bien ! Le groupe UDI, qui s’est toujours déterminé en fonction de l’intérêt supérieur de la nation, ne peut que le regretter.