Au ministère de la défense, les processus d'externalisation sont restés assez marginaux et, en tout état de cause, n'ont pas touché le coeur de métier. Ils ont principalement concerné les véhicules civils, la restauration, l'habillement, les infrastructures et le partenariat public-privé du site de Balard. La principale recommandation de la Cour est de ne pas perdre la capacité de discuter avec les entreprises avec lesquelles on a traité au départ, de façon à ne pas se priver de l'expérience acquise, en particulier pour ce qui concerne les services de haute technologie tels que les systèmes d'information.