On lui fait dire ce qu’il ne dit pas, alors que le débat a tout dit et que tout est dans le texte.
On lui prête des intentions, alors qu’il ne se propose que de libérer certaines énergies, de casser les rentes de certaines professions, de capter davantage de croissance, et au final de favoriser l’emploi.
On lui prête des arrière-pensées, alors que les équilibres qu’il promeut n’ont pas vocation à être modifiés.
Je l’ai dit en février dernier, et je le répète aujourd’hui : cette loi est une loi de progrès social, qui non seulement entend doper la croissance, mais plus encore entend le faire avec l’objectif du progrès et de l’égalité des chances.
Il n’est que de regarder le travail fait à l’Assemblée nationale et celui effectué au Sénat pour se rendre compte que le projet de loi pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances est une loi de progrès !
Une loi de progrès pour les jeunes de ce pays, à qui on garantit une place à l’examen du permis de conduire sous 45 jours, sans devoir payer encore, encore et encore, comme c’est le cas aujourd’hui.