Vous nous signalez un taux d'émission actuel de 0,77 %, ce dont chacun peut se réjouir. Quelle est la perspective pour 2016 et 2017, et à partir de quel niveau de taux considérez-vous que nous prenions un risque par rapport aux engagements et inscriptions budgétaires de la France ?
Par ailleurs, avez-vous intégré dans vos simulations les différents scénarios de sortie de crise de la Grèce et, le cas échéant, pouvez-vous nous indiquer quelles sont les conséquences de ces scénarios sur les émissions françaises ?