Certes, il est bien commode de sortir arbitrairement certaines dépenses dites exceptionnelles – celles relevant du programme d'investissements d'avenir ou du Mécanisme européen de stabilité, par exemple – mais il faut tout de même emprunter pour les dépenses correspondantes. Or, si vous faites la somme de toutes les dépenses pour lesquelles nous sommes amenés à emprunter, vous vous rendez compte d'une incontestable dégradation du déficit budgétaire en 2014.