Je n'ai pas d'opposition de principe au dispositif proposé. Toutefois, prévoir qu'un pays doit être « sûr » « pour les hommes comme pour les femmes » peut créer un risque d'exclusion d'autres catégories de la population. Ainsi constate-t-on des demandes d'asile au titre d'autres persécutions très spécifiques. Le risque d'a contrario existe bien.