Revenons aux missions à privilégier dont parlait ma collègue. Pour être un peu provocatrice, je vais dire que chacun veut bien une réforme, mais pas chez lui où tout fonctionne déjà comme il faut et que c'est aux autres de faire des efforts. En disant cela, je ne vise pas une structure particulière, je tiens à le préciser.
C'est pour cela que nous essayons, d'une manière que nous jugeons constructive, de réfléchir avec vous sur les missions et les actions prioritaires. Vous l'avez reconnu vous-même, le modèle est à bout de souffle. À partir de là, comment fait-on pour préserver l'essentiel dans un contexte où les dépenses publiques sont limitées ?