Avant de concrétiser les ambitions affichées, il faut que chaque pays membre puisse adosser son discours sur un réel accès aux réseaux pour les usagers, d'autant qu'on peut véritablement parler d'une fracture numérique en France. M. Juncker avait proposé, dans son plan de relance l'an dernier, d'inscrire des projets nationaux au titre des investissements : alors que les 32 projets français ont été rejetés, avez-vous l'intention d'en proposer de nouveaux ? Pourrons-nous bénéficier des outils mis à disposition par l'Europe pour nous permettre de contribuer à ce marché unique à notre juste niveau ?